Si j’ai décidé aujourd'hui de t’accompagner en proposant des séances de mentorat dédiées aux artistes et aux musiciens, de lancer le podcast “Vis ma vie d’artiste (raté ?)” et de laisser mon baluchon de ménestrel de côté, c'est que je suis conscient que cette vocation passionnante peut être dévorante et nous renvoyer durement à notre vulnérabilité.
J’ai à cœur aujourd’hui de contribuer à ton épanouissement et de t’offrir ce qu’il ne m’a pas été aisé de trouver en tant que jeune artiste.
Cela m’invite toujours à parler d’alignement.
Retrouver conscience (tête), amour (cœur) et présence (corps) dans ce que l’on fait.
Outils clefs pour la préparation mentale des concours d’orchestres, des CNSM, des conservatoires et pôles sup ces approches permettent de générer un état de concentration qui évite de flancher lors d’une performance ou d’une prestation.
“Méditer c’est s’habituer à soi” et ainsi faire le distinguo entre ce qui me pèse et ce qui me porte. La pratique quotidienne permet de se connecter à son intention, ce qui est une clef phare pour le coaching du musicien et de l’artiste.
Ces écoles systémiques et psychothérapeutiques offrent la possibilité de gagner en discernement et de ne plus être le pantin de ses mécanismes inconscients. On se réapproprie ainsi le récit de sa vie en étant conscient de ce qui nous anime.
J’intègre toujours du mouvement dans mes accompagnements pour les musiciens. Le corps à son langage et il importe de renouer un dialogue avec lui, notamment dans la gestion du stress et du trac. Le corps n’est pas coupé du mental. Tout ce qui traverse la sphère émotionnelle à un impact considérable sur le corps, c’est d'ailleurs pour cela que l’on parle de somatisation quand un trouble se réveille. Le corps exprime un mal qui n’a pas été entendu.
S'ouvrir à son vécu émotionnel est pour l’artiste la porte vers plus de compréhension. Il s’agit en développant cette forme d'intelligence de remplacer la culpabilité par la responsabilité et de gagner en vocabulaire pour faire dialoguer la tête et le cœur. Ce qui m’émeut me meut.